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Témoignage sur la lumière contre le dorlis


Depuis plusieurs mois, je publie tous les vendredis sur ma page instagram et facebook @lafleurcurieuse les témoignages sur les mystères occultes de nos îles. Un projet pour libérer la parole et partager un aspect an ba fey de notre société antillaise. De ce fait, je partage avec vous un témoignage d’une famille victime des attaques d’un dorlis. Mais avant, veuillez lire ce texte de Ray Caloc en guise d’introduction :

 “Ceci est un mal antillais qu’il ne faut point ignorer. Personne ose aborder ouvertement cette plaie. Pourtant de façon discrète le peuple en parle et chacun cherche à s’en soustraire.

Il existe plusieurs principes quant à la réalisation de ce phénomène. Le dorlis n’est pas un esprit ou entité d’un autre monde. C’est un homme ou une femme qui peut très bien être votre voisin. Il se place sur une autre plan pour venir exécuter leurs diverses manifestations malhonnêtes, chez vous.

Moult individus ont mal interprété le fait que des humains ont des dons. Ceci est dû au fait que la plupart qui ont eu le privilège de ce pouvoir en ont fait une mauvais utilisation. Ils s’en sont servi pour déranger leurs voisins, les persécuter, les empêcher de dormir, de vivre chez eux en toute quiétude.

Ces malfaiteurs n’ont pas été suffisamment préparés pour la maîtrise de telles forces. De ce fait, il porte atteinte aux familles et à la société tout en restant socialement impunis. Existe-t-il en France et territoire français une loi punissant sorcellerie et autres mauvaises manifestations?

ci apparaît clairement le fossé entre deux réalités, entre deux cultures, à savoir l’européenne et l’antillaise. Cependant, la vraie utilisation de la métamorphose est son service dans le but de protection.

Changer d’aspect en cas de guerre, en présence d’un ennemi, détourner son attention pour passer inaperçu. “

Les conseils d’une victime de dorlis

N’hésitez pas à allumer une bougie bénite (trois gouttes d’eau bénite) entourée de sel. La culotte portée doit être noire, ça aveugle.

La prière “veni creator” sur un parchemin végétal si possible mis au dessus du lit.

On récite les psaumes 22 et 28 sur du sel acheté. Puis on le place dérrière la porte d’entrée.

Il y a d’autres recettes mais chacune dépend du dorlis qu’on a en face de soi…

Si l’audio plante, pas de panique ! Vous pouvez retrouver le témoignage sur Ausha (cliquez dessus)

Tu as été témoin d’un phénomène inexplicable par Mr le curé mais seuls les contes et légendes de nos aïeuls peuvent t’éclairer, n’hésite pas à libérer la parole en envoyant ton témoignage sur :

-@lafleurcurieuse
-lafleurcurieuse.fr@gmail.com

Respect de l’anonymat, trop de commères ou ja sav !


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Je n`oublierai jamais la manière dont le monde s`est ouvert quand ma mère nous a offert notre premier ordinateur avec une connection internet.

À l`époque c`était une revolution pour une jeune ado caribéenne qui n`avait pas vraiment voyagé. Maintenant tout le monde a accès à l`information et pourtant nou pa ka pran tan-an pou fè tounen lespri nou.

Nous n`avons plus besoin de trimer dans notre jardin créole pour faire pousser notre manjé. Tuer le cochon ou les poules le samedi pour avoir notre stock de viande. Ni prendre des sentiers battus pour nous rendre à l`école.

On peut dire que certains aspects de note vie sont plus facile, est ce pour autant nous utilisons ce temps libre pou fè tounen lespri nou ?

Malheureusement pour beaucoup awa sé yen ki pété bonb. An lafèt, wélélé ki pa ka fini. À l`heure actuelle, nous avons l`opportunité de faire les deux. Hélas, nous ne savons plus doser pour un certain équilibre.

C`est donc par cette gymnastique de l`équilibre que tourne cette page. Des posts/story pour la réflexion et d`autres pour le bordel. Mé menm lè ou ka pété bonb fok ou konprann sa ki ni déyè sa.

Mi sé sa...

#fokousav
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